Politique
Creative Commons - Pixabay
La « quatorzaine » pourrait devenir une semaine. Alors que les bilans se suivent et se ressemblent depuis plusieurs semaines, c’est la principale nouveauté dans le discours du ministre de la Santé. Le nombre de cas dépistés augmente avec les dépistages et la circulation du virus ne semble pas reculer, ni non plus avoir des effets directs sur les hospitalisations. Et les autorités sanitaires continuent à souligner que les cas augmentent plus vite que le dépistage, ce qui laisse tout de même présager des conséquences sur la cicrulation du virus, et donc des effets chez les plus faibles. « Près de 9 000 vendredi, plus de 8 500 samedi et encore 7 000 ce dimanche 6 septembre… Les nouveaux cas de contamination au Covid-19 se multiplient en France, en même temps que les tests. « L’épidémie progresse de manière exponentielle et cette progression ne s’explique pas par l’augmentation du dépistage », notait Santé publique France dans son bilan hebdomadaire publié le 3 septembre » résume Ouest France.
Sur LCI, l’épidémiologiste Antoine Fontanet parle d’une augmentation de 15% du nombre d’hospitalisation de 30% de cas en général par semaine. Une progression qui doit s’arrêter dans les prochaines semaines pour éviter de remettre en difficulté les services de réanimation.
« Malgré ce contexte préoccupant, le gouvernement envisage d’assouplir une des mesures appliquées dans le cadre de la lutte contre le Covid-19 : la « quatorzaine », cette période de deux semaines d’isolement préconisée aux malades et aux fameux « cas contacts » (susceptibles d’avoir été contaminés), pour limiter la transmission du Covid-19, pourrait être raccourcie. Olivier Véran a indiqué samedi qu’il avait demandé « aux autorités scientifiques de donner un avis pour savoir si on ne peut pas réduire » la période d’isolement pour les cas contacts, estimant que « cette fameuse quatorzaine […] est sans doute trop longue » » appuie Ouest France.
Les études les plus récentes affirment que la plupart des contagions ont lieu dans les cinq jours qui suivent les premiers symptômes. Et ceux qui restent porteurs pourraient être moins contaminant. Des données qui ne suffisent pas à présager la décision des pouvoirs publics qui restent attachés au principe de précaution pour une maladie que l’on connait encore mal.
Sur LCI, l’épidémiologiste Antoine Fontanet parle d’une augmentation de 15% du nombre d’hospitalisation de 30% de cas en général par semaine. Une progression qui doit s’arrêter dans les prochaines semaines pour éviter de remettre en difficulté les services de réanimation.
« Malgré ce contexte préoccupant, le gouvernement envisage d’assouplir une des mesures appliquées dans le cadre de la lutte contre le Covid-19 : la « quatorzaine », cette période de deux semaines d’isolement préconisée aux malades et aux fameux « cas contacts » (susceptibles d’avoir été contaminés), pour limiter la transmission du Covid-19, pourrait être raccourcie. Olivier Véran a indiqué samedi qu’il avait demandé « aux autorités scientifiques de donner un avis pour savoir si on ne peut pas réduire » la période d’isolement pour les cas contacts, estimant que « cette fameuse quatorzaine […] est sans doute trop longue » » appuie Ouest France.
Les études les plus récentes affirment que la plupart des contagions ont lieu dans les cinq jours qui suivent les premiers symptômes. Et ceux qui restent porteurs pourraient être moins contaminant. Des données qui ne suffisent pas à présager la décision des pouvoirs publics qui restent attachés au principe de précaution pour une maladie que l’on connait encore mal.