15% d’augmentation pour le tabac à rouler. Une hausse moyenne d’un euro par paquet donc pour les fumeurs de ce type de cigarettes. « La ministre de la Santé, Marisol Touraine, et le secrétaire d'État au Budget, Christian Eckert, l'avaient annoncé en septembre dernier: le prix du tabac va augmenter ce lundi. L'arrêté d'homologation des prix du tabac, publié au début du mois, au Journal officiel, entre en vigueur ce matin. Et si le prix des paquets de cigarettes va globalement rester stable, malgré la mise en place par le gouvernement d'une taxe sur les distributeurs refacturée aux industriels, et d'une baisse de la rémunération des fabricants sur chaque paquet au profit des buralistes » précise Le Figaro.
Une mesure que le gouvernement et le législateur ont justifié en expliquant que le tabac à rouler, qui est pourtant plus nocif, était traité moins durement que les cigarettes industrielles. « Dans les faits, cette hausse du tabac à rouler est la conséquence d'une hausse des taxes. Le gouvernement désire en effet rapprocher la fiscalité de ce mode de consommation très prisé par les jeunes de la fiscalité des cigarettes classiques. Une idée défendue depuis plusieurs mois par des députés socialistes, car la nocivité du tabac à rouler est plus importante. Le fumeur inhale deux fois plus de goudron, de nicotine et de monoxyde de carbone » explique le quotidien.
Des mesures de lutte contre le tabagisme qui sont accompagnés de l’interdiction de plusieurs marques jugées trop attractives. Le gouvernement se félicite d’une baisse de la consommation en 2016 avec 44,92 milliards de cigarettes écoulées. Les buralistes estiment de leur côté que la baisse est avant tout causée par l’explosion du marché parallèle avec des cigarettes de contrebandes de marques, de contrefaçon ou de marques spéciales.
Lire ici l’article du journal Le Figaro
Une mesure que le gouvernement et le législateur ont justifié en expliquant que le tabac à rouler, qui est pourtant plus nocif, était traité moins durement que les cigarettes industrielles. « Dans les faits, cette hausse du tabac à rouler est la conséquence d'une hausse des taxes. Le gouvernement désire en effet rapprocher la fiscalité de ce mode de consommation très prisé par les jeunes de la fiscalité des cigarettes classiques. Une idée défendue depuis plusieurs mois par des députés socialistes, car la nocivité du tabac à rouler est plus importante. Le fumeur inhale deux fois plus de goudron, de nicotine et de monoxyde de carbone » explique le quotidien.
Des mesures de lutte contre le tabagisme qui sont accompagnés de l’interdiction de plusieurs marques jugées trop attractives. Le gouvernement se félicite d’une baisse de la consommation en 2016 avec 44,92 milliards de cigarettes écoulées. Les buralistes estiment de leur côté que la baisse est avant tout causée par l’explosion du marché parallèle avec des cigarettes de contrebandes de marques, de contrefaçon ou de marques spéciales.
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