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Un tel tremblement a forcément des conséquences perceptibles. « Un séisme de magnitude 8,2 s’est produit tard mercredi au large de la péninsule d’Alaska, selon l’Institut américain de géophysique (USGS), poussant les autorités américaines à déclencher une alerte au tsunami. Le tremblement de terre s’est produit à 91 km au sud-est de la localité de Perryville, située à quelque 800 km d’Anchorage, la plus grande ville de l’Alaska. Dans un communiqué, le système américain d’alerte aux tsunamis a prévenu que des « vagues de tsunami dangereuses » seraient possibles le long de certaines côtes » rapporte Le Parisien-Aujourd’hui en France .
Un situation qui a créé le décor d’un film catastrophe sur l’île de Kodiak et ses 6 000 habitants sur la côte. « Des vidéos postées sur les médias sociaux par des journalistes et des habitants de Kodiak ont montré des gens s’éloignant de la côte en voiture alors que les sirènes d’alerte étaient entendues. Une veille de tsunami a été initialement émise pour Hawaï, les résidents devant rester éloignés des plages, mais elle a été levée environ deux heures plus tard » ajoute le journal français.
Malgré tout aucun incident de type tsunami n’a été relevé ou rapporté dans les heures suivantes, affirment les médias locaux. Une telle prudence s’explique par les précédents ces dans l’histoire. « Le 27 mars 1964, un séisme de magnitude 9,2, le plus violent jamais enregistré aux Etats-Unis et dans le monde, avait frappé la région d’Anchorage. Il avait duré plusieurs minutes et provoqué un raz de marée destructeur sur toute la côte ouest américaine, faisant au total plus de 250 victimes » explique le journal. L’an dernier aussi par crainte de tsunamis, l’alerte avait été lancée sans qu’aucun problème ou risque ne survienne. Le risque est réel c’est évident, mais à sonner l’alarme trop régulièrement sans danger réel, l’efficacité de telles épisodes risque bien de s’amoindrir.
Un situation qui a créé le décor d’un film catastrophe sur l’île de Kodiak et ses 6 000 habitants sur la côte. « Des vidéos postées sur les médias sociaux par des journalistes et des habitants de Kodiak ont montré des gens s’éloignant de la côte en voiture alors que les sirènes d’alerte étaient entendues. Une veille de tsunami a été initialement émise pour Hawaï, les résidents devant rester éloignés des plages, mais elle a été levée environ deux heures plus tard » ajoute le journal français.
Malgré tout aucun incident de type tsunami n’a été relevé ou rapporté dans les heures suivantes, affirment les médias locaux. Une telle prudence s’explique par les précédents ces dans l’histoire. « Le 27 mars 1964, un séisme de magnitude 9,2, le plus violent jamais enregistré aux Etats-Unis et dans le monde, avait frappé la région d’Anchorage. Il avait duré plusieurs minutes et provoqué un raz de marée destructeur sur toute la côte ouest américaine, faisant au total plus de 250 victimes » explique le journal. L’an dernier aussi par crainte de tsunamis, l’alerte avait été lancée sans qu’aucun problème ou risque ne survienne. Le risque est réel c’est évident, mais à sonner l’alarme trop régulièrement sans danger réel, l’efficacité de telles épisodes risque bien de s’amoindrir.