Creative Commons - Pixabay
Selon les études d’opinion et avec toutes les précautions d’usages, aucun candidat d’un parti de gauche n’a de chance de se retrouver au second tour de l’élection présidentielle. Et cette réalité pousse les éditorialistes ou militants à appeler à l’union de la gauche, ou du moins à souligner la division de celle-ci. Le Huffington Post a même commandé un sondage à ce sujet : « Dans le détail, 51% (contre 21%) des personnes sondées par l’institut estiment que les différents mouvements et candidats de gauche devraient s’unir, s’ils veulent accéder au second tour de l’élection présidentielle. Un chiffre qui grimpe, sans surprise, à 80% chez les sympathisants de ce camp. »
Sorte d’incantation ou de position de principe, l’union des gauches est un souhait qui est formulé toujours commune un objectif naturel mais inaccessible puisque chaque personnalité propose que l’on s’unisse derrière elle. « Les Français sont en revanche bien plus sceptiques ou divisés lorsqu’il s’agit de choisir le meilleur candidat (entre Jean-Luc Mélenchon, Arnaud Montebourg, Yannick Jadot, Anne Hidalgo ou Fabien Roussel) pour emmener ses camarades derrière lui. Quand la moitié préfère ne pas se prononcer pour l’un ou l’autre, 14% d’entre eux estiment que le chef de file de la France insoumise “serait le mieux placé” » continue le site internet.
Au-delà de cette réalité, c’est surtout le fait que la gauche est largement minoritaire qui transparait dans les sondages. Avec comme objectif indépassable d’atteindre le second tour en additionnant les résultats des études d’opinion. Les dernières enquêtes de Harris Interactive montrent qu’en additionnant les sept candidats qui se disent de gauche, le résultat est autour de 30%. Soit le même niveau que les scores cumulés de Éric Zemmour et Marine Le Pen. « Motif d’espoir, pour lui et les autres: alors que la course à l’Elysée s’accélère, entre le dénouement de la primaire des Verts, la pré-campagne du prétendant Zemmour ou le congrès à venir des Républicains, la moitié des personnes interrogées par YouGov (51%) disent ne pas savoir pour qui elles voteront au printemps prochain. Quand, dans le même temps, 84% des Français n’imaginent pas louper ce rendez-vous démocratique. De quoi laisser miroiter un jeu plus ouvert que prévu? Il reste moins de sept mois pour que la magie opère » espère Le Huffington Post.
Sorte d’incantation ou de position de principe, l’union des gauches est un souhait qui est formulé toujours commune un objectif naturel mais inaccessible puisque chaque personnalité propose que l’on s’unisse derrière elle. « Les Français sont en revanche bien plus sceptiques ou divisés lorsqu’il s’agit de choisir le meilleur candidat (entre Jean-Luc Mélenchon, Arnaud Montebourg, Yannick Jadot, Anne Hidalgo ou Fabien Roussel) pour emmener ses camarades derrière lui. Quand la moitié préfère ne pas se prononcer pour l’un ou l’autre, 14% d’entre eux estiment que le chef de file de la France insoumise “serait le mieux placé” » continue le site internet.
Au-delà de cette réalité, c’est surtout le fait que la gauche est largement minoritaire qui transparait dans les sondages. Avec comme objectif indépassable d’atteindre le second tour en additionnant les résultats des études d’opinion. Les dernières enquêtes de Harris Interactive montrent qu’en additionnant les sept candidats qui se disent de gauche, le résultat est autour de 30%. Soit le même niveau que les scores cumulés de Éric Zemmour et Marine Le Pen. « Motif d’espoir, pour lui et les autres: alors que la course à l’Elysée s’accélère, entre le dénouement de la primaire des Verts, la pré-campagne du prétendant Zemmour ou le congrès à venir des Républicains, la moitié des personnes interrogées par YouGov (51%) disent ne pas savoir pour qui elles voteront au printemps prochain. Quand, dans le même temps, 84% des Français n’imaginent pas louper ce rendez-vous démocratique. De quoi laisser miroiter un jeu plus ouvert que prévu? Il reste moins de sept mois pour que la magie opère » espère Le Huffington Post.