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Comme un nouvel élément de la panoplie du visiteur, le passe sanitaire est dans toutes les mains des files d’attentes des parcs d’attraction. C’est du moins ce que rapporte Le Monde dans un reportage : « Mercredi 21 juillet, les parcs de loisirs ont expérimenté le passe sanitaire et ce ne fut pas l’apocalypse. Les clients ont continué d’affluer et personne, ni au Parc Astérix ni à La Mer de sable, tous deux situés dans l’Oise, n’a fait de scandale. Anna-Elsa et Meier, venus de Saint-Mandé (Val-de-Marne), ont été les premiers à se faire refouler de La Mer de sable. Ils avaient pourtant choisi ce jour d’instauration du passe sanitaire pour visiter le parc avec leurs trois enfants, espérant y trouver moins de monde. Mauvaise pioche : la foule est là et leur passe a bipé rouge. Anna-Elsa se flagelle : « On a mal pris nos dispositions. J’ai fait mon vaccin vendredi ». »
Du coup, continue l’article, c’est vers la pharmacie la plus proche que les visiteurs se sont rendus : « C’est à dix bonnes minutes de voiture, mais les visiteurs croisés mercredi matin n’en étaient pas découragés. Le conjoint au passe sanitaire en règle entre dans le parc, l’autre est bon pour une visite approfondie des deux narines. Au Parc Astérix, comme à Disneyland Paris (Seine-et-Marne) ou au Puy-du-Fou (Vendée), un laboratoire opère à l’entrée du parc. Mais il n’a pas fait fortune mercredi : à peine une trentaine de candidats pour le test, facturé 20 euros au client et non à l’Assurance-maladie. »
Il faudra bien sur attendre les statistiques pour évaluer les conséquences de ces nouvelles mesures et restrictions sur les entrées. Mais pour l’heure, c’est surtout la logistique et la gestion des salariés qui au cœur des préoccupations. Car si le Parc Astérix, fort de la taille de sa structure a mis en place un centre de vaccination, les plus petites entreprises de tourisme devront se contenter d’encourager leurs salariés ou sélectionner leurs saisonniers en fonction de leur situation. Après « Permis B » ce sont les « deux doses » qui devraient fleurir sur les CV.
Du coup, continue l’article, c’est vers la pharmacie la plus proche que les visiteurs se sont rendus : « C’est à dix bonnes minutes de voiture, mais les visiteurs croisés mercredi matin n’en étaient pas découragés. Le conjoint au passe sanitaire en règle entre dans le parc, l’autre est bon pour une visite approfondie des deux narines. Au Parc Astérix, comme à Disneyland Paris (Seine-et-Marne) ou au Puy-du-Fou (Vendée), un laboratoire opère à l’entrée du parc. Mais il n’a pas fait fortune mercredi : à peine une trentaine de candidats pour le test, facturé 20 euros au client et non à l’Assurance-maladie. »
Il faudra bien sur attendre les statistiques pour évaluer les conséquences de ces nouvelles mesures et restrictions sur les entrées. Mais pour l’heure, c’est surtout la logistique et la gestion des salariés qui au cœur des préoccupations. Car si le Parc Astérix, fort de la taille de sa structure a mis en place un centre de vaccination, les plus petites entreprises de tourisme devront se contenter d’encourager leurs salariés ou sélectionner leurs saisonniers en fonction de leur situation. Après « Permis B » ce sont les « deux doses » qui devraient fleurir sur les CV.